joi, 16 februarie 2012

Jean Francois Maurice - La Rencontre




Deux ans déjà…
Deauville n’a pas changé
Toi non plus, tu sais…

C’est drôle…
Toujours ce rendez-vous au dernier moment
Ils sont là, comme avant,
Les voiliers, les goélands.
J’ai ta veste sur mes épaules
Pour me protéger du vent
Mais tu ne m’as pas encore embrassée.

J’avais envie de te revoir.
Finalement, on ne s’est jamais quitté,
C’est la vie qui nous a séparés

C’est vrai, moi j’y pense encore,
À nos dîners en amoureux,
À ces bouquets de fleurs,
À tous ces télégrammes…
On dit que la passion, ça n’arrive qu’une fois.
Tu aimais l’amour dangereux, toi…

J’ai l’impression qu’il va pleuvoir
Deux ans déjà…
Deauville n’a pas changé
Moi non plus, tu sais…

C’est bien…
Je vais retourner à l’hôtel,
Tu vas rentrer sur Paris,
Et puis tu m’appelleras un jour, peut-être…
Tu me diras : viens, et je viendrai
Comme d’habitude, tu ne diras rien, pourquoi ?

Donne-moi encore une cigarette…
J’aurai des souvenirs, plein de souvenirs,
Et beaucoup de nostalgie…

C’est fou, moi aussi,
Ça fait du bien d’y penser,
Et j’ai du mal à oublier.
Tu vois, j’aurais voulu te dire je t’aime,
Là, maintenant, sur cette plage de Normandie
Mais… mais je crois qu’il est trop tard…

Oui, il est tard, il faut rentrer.

Un comentariu:

  1. Deux ans déjà…
    Deauville n’a pas changé
    Toi non plus, tu sais…

    C’est drôle…
    Toujours ce rendez-vous au dernier moment
    Ils sont là, comme avant,
    Les voiliers, les goélands.
    J’ai ta veste sur mes épaules
    Pour me protéger du vent
    Mais tu ne m’as pas encore embrassée.

    J’avais envie de te revoir.
    Finalement, on ne s’est jamais quitté,
    C’est la vie qui nous a séparés

    C’est vrai, moi j’y pense encore,
    À nos dîners en amoureux,
    À ces bouquets de fleurs,
    À tous ces télégrammes…
    On dit que la passion, ça n’arrive qu’une fois.
    Tu aimais l’amour dangereux, toi…

    J’ai l’impression qu’il va pleuvoir
    Deux ans déjà…
    Deauville n’a pas changé
    Moi non plus, tu sais…

    C’est bien…
    Je vais retourner à l’hôtel,
    Tu vas rentrer sur Paris,
    Et puis tu m’appelleras un jour, peut-être…
    Tu me diras : viens, et je viendrai
    Comme d’habitude, tu ne diras rien, pourquoi ?

    Donne-moi encore une cigarette…
    J’aurai des souvenirs, plein de souvenirs,
    Et beaucoup de nostalgie…

    C’est fou, moi aussi,
    Ça fait du bien d’y penser,
    Et j’ai du mal à oublier.
    Tu vois, j’aurais voulu te dire je t’aime,
    Là, maintenant, sur cette plage de Normandie
    Mais… mais je crois qu’il est trop tard…

    Oui, il est tard, il faut rentrer.

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